
Nous avons choisi de puiser notre inspiration dans le mythe de Babel, en explorant les moments historiques où les humains sont devenus étrangers les uns aux autres, tels que décrits dans les textes bibliques. Nous nous intéressons à leur dispersion et à leur fragmentation. Cette notion de fragmentation se reflète également dans le paysage architectural de Venise, avec ses mosaïques, ses vitraux, et autres éléments.

Nous avons appliqué un filtre de dispersion à plusieurs portraits représentant diverses ethnies, les rendant ainsi anonymes et interrogeant l'identité de ceux que nous qualifions d'"étrangers". Cette approche permet également au spectateur de mieux se projeter. De plus, nous avons délibérément positionné les portraits hors champ pour jouer avec les "frontières" de l'affiche.






Seconde piste de recherche
Projet fictif, e-artsup, en collaboration avec Pierre Freund